Cette erreur fondamentale de Jean-Paul Sartre a été un choix conscient de sa part, car en effet, il décidé de ne pas éclairer sa philosophie du point de vue de ses émotions, car il ne savait pas ce qu'est une émotion, l'ayant dit de lui-même. Ainsi, cet ouvrage de Nirmel M est une explication de ce qu'est une émotion et de ce que contient intrinsèquement le langage, précisant cet élément dont Sartre ne voulait rien dire pour ne pas se tromper. Il n'a pas éludé la question, n'ayant pas déclaré qu'il considérait que les émotions devaient être bannies de l'étude et de la philosophie. En ceci, l'on ne peut catégoriser Sartre et De Beauvoir comme penseurs du traditionalisme, n'ayant pas choisi ce paradigme traditionnel des éludation et éclipse des émotions. Ainsi, relativement à la tradition dans la philosophie, Sartre ffaisait une erreur, et même une erreur morale, au sens où il a choisi comme sa compagne, l'éthique, le degré supérieur de la morale. Ainsi, Sartre a choisi une réflexion à partir de la linguistique et l'analyse, et a choisi de reporter à plus tard la considération des émotions, puisque, son domaine n'étant pas la pratique des arts, il a décidé de n'en rien dire.

Ma pratique artistique musicale me permet en plus de ma pensée philosophique, de considérer ce domaine de l'émotion, de façon à l'ajouter, dans la continuation de la philosophie existentialiste, puis de lier le résultat au socialisme dont le fondement est l'honnêteté naturelle.

Ainsi, l'on a ici une autre partie intégrée à la pratique artistique de Nirmel M, et l'on a de plus une partie intégrée à ce projet d'oeuvre Esthétique nouvelle, liée à l'électrométis.