CDLP-8 titres. Temps total: 53'45".

C'est le disque où se situe la version de Nirmel M de Valsa sem nome, la Valse sans nom, de Vinicius de Moraes et Baden Powell, où Nirmel M lit la valse à la clarinette puis à la clarinette basse, et où l'on peut entendre aussi Ni haine ni pardon, Les coiétés fondent les mythes (et pas l'inverse...) et Me vois-Tu, qui sont trois titres qui ont permis à Nirmel M d'être dans le top 10 des charts américains sur internet dans le domaine du jazz et d'obtenir des millions d'écoutes en streaming, parmi de nombreux titres qui ont permis d'obtenir cette reconnaissance.

L'on peut y entendre une chanson de Michel Thibault et Frédérique Carminati, ce couple qui a intialisé la pratique jazzistique de Nirmel M, Michel Thibault étant décédé avant que Nirmel M ait pu être son élève, vers 1996, d'un cancer de la plèvre. Nirmel M a alors pris la décision de l'autodidactie et de la pratique, ainsi que pris la décision de ne jamais pratiquer la guitare, par respect pour ce compositeur dont vous avez certainement pu entendre les bandes-son dans les anciennes séries télé ou dans des films de l'époque de la Nouvelle vague, ou bien dont vous avez pu entendre les disques et concerts où sa passion était l'utilisation pionnière du MIDI et des ordinateurs. Frédérique est parolière et chanteuse et a formé de très nombreux.euses chanteur.euse.s classiques comme jazz et a continué de se produire sur scène et d'enregistrer. Ce titre est un hommage respectueux à ce couple que l'histoire du jazz ne pourra pas plus longtemps ignorer ou tenter d'effacer, et l'on peut entendre les débuts courageux de Nirmel M au piano.